Les lieux sacrés étaient des endroits minutieusement choisis car ils devaient être comme un garde-manger communautaire pouvant nourrir un grand nombre de personnes pendant plusieurs jours, des pouponnières de gibiers où la subsistance était possible, où il y’avait du poisson, du lièvre, de l’orignal ou du caribou et où on attendait les outardes. Un lieu de repos à l’abris du vent où il y avait abondance de bois de chauffage.